Month: août 2011

JETEZ-LUI LE LIVRE

Au début de son ministère, les choses se passaient vraiment bien pour Jésus. Il s’est fait baptiser et a entendu les paroles de confirmation de son Père : « Celui-ci est mon Fils bien-aimé, en qui j’ai mis toute mon affection » (Mt 3.17). Toutefois, les choses se sont envenimées par la suite.

S’ÉPUISER

La fille de mon ami Jeff lui a demandé de célébrer son mariage. L’expérience promettait d’être une source de grande joie, car la cérémonie devait avoir lieu dans un lieu exotique et romantique. Toutefois, il y avait un problème majeur : étant donné que le nombre des personnes qui y assisteraient serait très restreint, Jeff allait devoir jouer trois rôles différents qui risquaient d’entrer en conflit entre eux. Il allait servir de célébrant, de père à la mariée et de photographe !

COMME UN TROUPEAU

Au cours d’une démonstration de garde de moutons employant un Border-Collie, l’entraîneur du chien a expliqué que parce que les moutons sont très vulnérables par rapport aux animaux sauvages, leur principale défense contre les prédateurs consiste à rester ensemble dans un groupe très uni. « Un mouton seul est voué à mourir, a dit l’entraîneur. En faisant se déplacer les moutons, le chien les garde toujours ensemble. »

PÊCHER LÀ OÙ ILS NE SONT PAS

J’ai un bon ami avec qui je vais pêcher de temps à autre. Après avoir mis ses bottes de pêcheur et rassemblé son équipement, cet homme très réfléchi s’assoit sur le hayon de sa camionnette et scrute la rivière pendant une bonne quinzaine de minutes, à la recherche de poissons venant à la surface. « À quoi bon pêcher là où ils ne sont pas ? » dit-il, ce qui me rappelle une autre question : « Est-ce que je pêche les âmes là où elles ne sont pas ? »

METTONS L’ARMURE

J’ai eu tôt fait de découvrir qu’un jeune garçon qui citait la Bible dans un programme pour enfants à l’église connaissait très mal la Bible. Il citait Éphésiens 6.17, qu’il avait appris durant notre étude de l’armure du chrétien : « [Prenez] aussi […] l’épée de l’Esprit, qui est la parole de Dieu. » En tentant de citer la référence, il a dit : « Je ne pensais pas devoir mémoriser les chiffres, puisque c’était juste l’heure. » Il pensait que 6.17 indiquait qu’il était 6 h 17 ce soir-là ! En souriant, j’ai ouvert ma bible et je lui ai montré que les chiffres correspondaient au chapitre et au verset.

L’INATTENDU

Toni cherchait ce qui n’était pas vraiment perdu, et elle a trouvé ce qu’elle ne cherchait pas. Résultat : un groupe de personnes a reçu une poussée spirituelle à laquelle il ne s’attendait pas.

UN AU REVOIR DÉCHIRANT

Lorsque notre cadet s’est enrôlé dans l’armée, nous savions que les défis ne manqueraient pas. Nous savions qu’il ferait face au danger et qu’il serait éprouvé sur les plans physique, émotionnel et spirituel. Nous savions également que notre foyer ne serait plus jamais complètement le sien. Au cours des mois qui ont précédé son départ, ma femme et moi nous sommes préparés à relever ces défis.

COMMUNIQUER LA PAROLE

Jerry McMorris s’est mis à lire The Wall Street Journal il y a 50 ans, lorsqu’il fréquentait l’Université du Colorado. Son amour pour cette publication et pour son alma mater l’a conduit à donner des centaines d’abonnements au WSJ à des étudiants de l’école de commerce de l’UC. McMorris a déclaré au Colorado Springs Gazette : « Le Journal m’a procuré une bonne perspective, élargie, de ce qui se passait dans le monde des affaires, et j’ai pris l’habitude de le lire au début de ma journée professionnelle. Il aide à communiquer aux étudiants les vraies questions relatives au monde des affaires. »

UNE PRIÈRE INSENSÉE

J’ai parfois honte de mes prières. Je m’entends trop souvent prononcer des expressions communes qui sont davantage des propos creux qu’une interaction réfléchie et intime. Une expression qui m’énerve, et qui selon moi risque d’offenser Dieu, est : « Seigneur, sois avec moi. » Dans la Bible, Dieu me promet continuellement de ne jamais me quitter.

RÉVEILLÉ PAR UN AMI INTIME

Il y a quelques années, j’ai dû subir quelques tests de dépistage du cancer, dont je redoutais les résultats. Mon angoisse s’est accrue lorsque je me suis mis à penser que, même si les membres du personnel médical étaient bien formés et extrêmement compétents, ils m’étaient inconnus et n’avaient aucune relation avec moi.